Points noirs, boutons roses, rouges ou bruns! Peuvent-ils se transformer en boutons cancer de la peau?
Les causes pour l’apparition des boutons varient en partant des maladies infantiles, en passant par l’acné – le cauchemar des adolescents jusqu’aux points noirs, les boutons rouges ou blancs. Dans la plupart des cas, on attribue leur origine au sébum qui favorise le développement de bactéries. Est-ce le cas des boutons cancer de la peau et comment les distinguer ? Sont-ils aussi dangereux, peut-on les prévenir et que faire s’ils apparaissent ? Tant de questions qui trouveront, peut-être, leurs réponses dans notre article.
Contenu de la page
- Comment distinguer les boutons cancer de la peau ?
- Qui sont les concernés ?
- Ça vous gène ! Comment s’y prendre ?
- Quels signes doivent alerter au cas de taches sur la peau ?
- Faut-il s’inquiéter en cas d’une cicatrice préexistante ?
- Les soins pertinents pour éviter les boutons cancer de la peau
- Que disent les dernières études des boutons cancer de la peau ?
Comment distinguer les boutons cancer de la peau ?
Les chaleurs estivales nous obligent de jeter les vêtements et d’exhiber telle ou telle partie du corps. Cela ne se passe pas sans gêne car la peau n’est pas parfaite après les longs mois froids. Il est important de la préparer au bronzage naturellement, car le soleil brûlant n’est pas son allié. Et surtout, si on repère des boutons cancer de la peau à des endroits différents du corps. Il ne faut pas les confondre avec les grains de beauté ! Paniquer non plus ! Parce que les ci-dits boutons cancer de la peau ne sont pas cancéreuses.
Les zones les plus touchées se trouvent autour du cou, sous les aisselles et sur l’aine, là où il y a plus d’humidité à cause de la transpiration. C’est plutôt un défaut cosmétique, connu chez les dermatologues comme « acrochordon ». Ces petites tétines roses, lilas, brunes sont fréquentes et heureusement bénignes. Elles font partie de la famille des fibromes et ne comportent pas de risque. Cela n’exclut pas une surveillance régulière de la peau. Inspecter sa peau pour la connaître est la meilleure prévention.
Qui sont les concernés ?
Les personnes les plus concernées sont les diabétiques, les obèses, les femmes enceintes. Pourquoi ? Bien que des hypothèses sur l’apparition des acrochordons ne manquent pas, les spécialistes sont unanimes sur le dérèglement des glandes sébacées produisant plus de gras. Cela peut survenir suite à un problème avec l’insuline ou en cas d’hypertension artérielle. Plus votre âge avance, plus de boutons molluscums apparaissent. Pourtant, il ne faut pas sous-estimer le facteur hérédité.
Ça vous gène ! Comment s’y prendre ?
En hiver, si vous portez des pulls en matière synthétique, cela peut provoquer des inflammations suite au frottement. Il arrive qu’un acrochordon saigne, puis sèche et enfin tombe seul. Sur les réseaux, comme vous pouvez supposer, les conseils se comptent à pelle : nouer pour cesser le flux du sang, tamponner avec du vinaigre de cidre, faire des pansements avec de l’ail haché ou du bicarbonate de soude etc. Toute astuce est efficace mais à condition qu’on respecte une hygiène et qu’on désinfecte l’endroit. Il faut en tout cas avoir à l’esprit que les plateformes grouillent d’opinions profanes dans la plupart et être prudent.
Quels signes doivent alerter au cas de taches sur la peau ?
Un système immunitaire affaibli, l’hérédité, une exposition constante au soleil sans prendre des mesures préventives et des brûlures avec des produits toxiques peuvent être à l’origine de boutons cancer de la peau. Si les cinq premières lettres de l’alphabet sont présentes, on peut en être sûrs. Il s’agit d’une forme asymétrique/A/, de bords irréguliers/B/, de couleur hétérogène/C/, d’un diamètre plus grand de 6 mm/D/ et d’une évolution/E/. La meilleure prévention est de connaître parfaitement la cartographie de son corps.
Ne faites pas l’impasse sur les visites annuelles chez le dermatologue.
Faut-il s’inquiéter en cas d’une cicatrice préexistante ?
Nous l’avons dit et redit, chaque point sur la peau doit être surveillé et montré au spécialiste pour émettre une opinion. Une cicatrice, une lésion doivent être dans le viseur en tant que porteuses de risque putatif, car « stimulées » un peu par des irradiations ou des produits chimiques, elles peuvent se transformer en carcinomes basocellulaires.
Quant à un carcinome épidermoïde, il peut partir d’une plaie qui ne cicatrise pas.
Notez bien qu’un diagnostic prononcé à temps, multiplie les chances de guérison rapide.
Les soins pertinents pour éviter les boutons cancer de la peau
La première question à vous poser concerne votre routine beauté. Quel est le traitement sur lequel vous misez : extérieur ou intérieur ?
C’est-à-dire, quels produits cosmétiques utilisez-vous et lisez-vous les étiquettes, et qu’est-ce que vous mangez pour booster votre immunité.
Un des bons gestes pour garder un niveau de santé cutanée sans faille est d’hydrater la peau régulièrement. Par exemple, la méthode « sandwich » est excellente pour une peau sèche.
Se protéger du soleil avec une crème solaire même faite maison et savoir comment l’appliquer sont des gestes cruciaux de prévention.
Le contenu de votre assiette crée la flore des intestins qui, fourmillant de mauvaises bactéries peuvent créer des conditions à risque pour tout l’organisme et pour le plus grand organe : la peau.
Dans ce sens, on peut recourir à la gemmothérapie qui est capable à restaurer le système immunitaire.
Que disent les dernières études des boutons cancer de la peau ?
Cela vous étonnera, mais le risque de développer un mélanome existe plus chez des peaux qui n’ont aucun grain de beauté. D’après des chercheurs italiens, seulement un tiers des cas de cancer de la peau ont commencé d’un petit grain de beauté. En même temps, une petite lésion sur la peau peut devenir la cause de 70% des cancers cutanés.