Quel est le meilleur engrais pour le dipladénia ? Comment conserver son bel aspect même en hiver ?

Comment en prendre bien soin en hiver ? Quel est le meilleur engrais pour le dipladénia ? Comment l’arroser ? Suives nos conseils jardinage !

On ne présente plus cette plante grimpante connue pour sa floraison exceptionnelle. Le dipladénia a le vent en poupe grâce à ses nombreuses fleurs colorées en forme de trompette visibles jusqu’à l’automne. Cette belle plante au feuillage persistant, vert et brillant, trouvera aisément sa place dans une serre, une véranda ou à l’intérieur de votre maison. Voyons maintenant les conditions pour avoir un magnifique dipladénia en toute saison.

Comment avoir un beau dipladénia ?

Commençons par le commencement : rentrez le dipladenia à l’intérieur avant les premières gelées ! Pour cela, prenez vos précautions dès que les températures nocturnes descendent sous les 10°C. De même, prenez le temps de vérifier s’il n’y a pas des pucerons sur votre dipladénia. Dans ce cas-là, traitez votre plante avec du savon noir ou de l’huile de neem pour vous en débarrasser. Ensuite, préparez l’hivernage de votre plante tropicale en la plaçant dans un endroit clair et ensoleillé loin des courants d’air. Enfin, tenez compte du fait que l’air intérieur est généralement plus sec en vérifiant le taux d’humidité dans votre habitation. En effet, question entretien, votre plante, à l’instar d’un citronnier installé à l’intérieur, aura sans doute besoin d’être vaporisé d’eau de temps à autre. Passons désormais aux choses sérieuses : taille, engrais et arrosage ! C’est par ici…

Quand le tailler ?

Il est de bon ton de tailler le dipladenia avant de le déplacer à l’intérieur en octobre. Au programme :  nettoyage des feuilles sèches, des tiges mortes et des parties endommagées. Pour les artistes en herbe, libre à vous de le façonner comme bon vous semble en tenant compte de l’emplacement que vous avez réservé à votre dipladénia à l’intérieur. Notez que plus le lieu d’hivernage est sombre, plus il faudra le rabattre. Rabattez les tiges volubiles secondaires les plus longues à 3 ou 4 yeux des tiges principales. Les tiges mortes doivent être coupées à la base. Attention, des études sérieuses sur la toxicité du dipladénia doivent vous inciter à mettre des gants au moment de la taille et à prendre vos précautions avec les enfants et les animaux de compagnie. On vous fait confiance !

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Quel est le meilleur engrais pour le dipladénia ?

Le dipladénia planté en pleine terre nécessite un apport en fumure organique à décomposition lente. Il est recommandé d’effectuer cette manipulation au début du printemps pour stimuler la floraison autant que possible. Vers la fin de l’été, il convient de réduire petit à petit les apports d’engrais pour permettre au dipladénia de rentrer en dormance hivernale. Pour une plante en pot, nous vous conseillons un apport hebdomadaire d’engrais liquide pour plantes fleuries à partir de la formation de nouveaux boutons, généralement de mi-mars jusqu’au mois d’août. Ce type d’engrais a l’avantage d’être immédiatement assimilable par les plantes. En effet, quelques jours après une fertilisation, la plante produira de nouveaux bourgeons. Pour stimuler la mise en fleurs et la résistance du dipladénia, veillez à ce qu’en plus de l’azote, l’engrais soit également enrichi en potassium et en phosphate.

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Est-ce que le dipladénia a besoin de beaucoup d’eau ?

Comme une évidence, le dipladénia doit avoir toujours suffisamment d’eau pendant sa floraison. Dans le cas contraire, il stresse et perd très rapidement ses feuilles et ses fleurs. Les étés caniculaires se succédant, un arrosage quotidien devient de plus en plus nécessaire durant la saison estivale, surtout si votre plante est exposée plein sud. Nous vous recommandons de prendre le temps de vérifier les besoins en eau de votre dipladénia tous les deux jours pour ne pas avoir de mauvaises surprises. Comme nous, le dipladénia aime se rafraichir et appréciera un peu d’humidité sur les fleurs et les feuilles. Ainsi, vous pouvez le brumiser le soir avec de l’eau non calcaire. Pour résumer, il est primordial de n’arroser qu’en cas de besoin, c’est-à-dire lorsque la couche superficielle de terre est à nouveau desséchée. Sachez qu’une terre trop humide provoquera sans aucun doute la pourriture racinaire du dipladénia. Rien de bon, vous l’aurez compris.

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