La viande transformée associée aux maladies pulmonaires chroniques
Le journal prestigieux The Lancet a publié une nouvelle étude examinant la corrélation entre la consommation de viande transformée et le développement des maladies pulmonaires chroniques. Classé parmi les cancérogènes probables par le Circ (Centre international de recherche sur le cancer), ce type d’aliments est plutôt à éviter. Quels sont les autres facteurs contribuant considérablement à cette pathologie et existe-t-il une solution ?
La viande transformée augmente le risque de maladies pulmonaires chroniques
L’organisation mondiale de la Santé a alarmé à plusieurs reprises sur les risques de la consommation excessive de viande rouge et de charcuteries. Officiellement catégorisée comme un agent cancérogène, la viande transformée augmente le risque de cancer de la prostate et du pancréas. En plus, d’après des enquêtes effectuées dans le monde entier, l’alimentation riche en charcuteries tue 34,000 personnes chaque année.
L’étude intéressante publiée dans The Lancet a examiné plus de 2 millions de femmes entre 1991 et 2017. Après avoir analysé les résultats, les scientifiques ont conclu que les représentantes du sex féminin consommant plus de viande transformée sont plus sujettes à des maladies pulmonaires obstructives chroniques comme la bronchite et l’emphysème. En plus, la mauvaise alimentation ainsi que les cigarettes peuvent considérablement aggraver la situation.
En fin de compte, y-a-t-il une solution ? Alors, les experts conseillent une consommation de viandes transformées plus rare ainsi qu’un mode de vie sain.