Coronavirus : comment se procurer de la vitamine D pendant le confinement ?
En règle générale, la vitamine D a pour objectif de booster l’absorption du calcium et du phosphore par l’intestin. Elle favorise aussi la minéralisation optimale des os, des dents ainsi que du cartilage. Qui plus est, face à la pandémie de coronavirus, les études sont devenues de plus en plus nombreuses à révéler un rapport significatif entre la vitamine D et le coronavirus. Certaines dévoilent que le manque de cet élément essentiel pourrait entraîner une forme grave de COVID-19 tandis que d’autres le considèrent comme une cure miracle du virus. Mais comment compenser ce besoin lorsqu’on est confiné ?
Quel lien entre la vitamine D et le coronavirus ?
Parue dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism le 27 octobre, une étude espagnole affirme que les patients atteints de SARS-CoV-2 souffrent le plus souvent d’une carence en vitamine D. De plus, l’Organisation mondiale de la Santé parle de plusieurs autres recherches scientifiques ayant prouvé son rôle protecteur contre les infections des voies respiratoires. L’étude mentionnée plus haut prouve aussi que le manque de cette substance importante pourrait être un facteur de risque du coronavirus.
Voici pourquoi, les scientifiques conseillent aux groupes à risque de se procurer de la vitamine D. Il importe aussi de noter qu’en France la dose recommandée au quotidien pour un adulte (hommes et femmes) est de 15 mg, d’après l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Et bien que le soleil en soit la meilleure source, que faire en période de confinement ? Alors, on opte pour l’alimentation, bien entendu. Poursuivez votre lecture pour découvrir notre liste des aliments à privilégier afin de compenser vos besoins quotidiens de façon naturelle.
Les aliments à considérer à incorporer à son menu
Comme promis, voici une petite liste des aliments les plus riches en vitamine D à privilégier en hiver et surtout en période de confinement :
- Sardines
- Thon
- Truite
- Saumon
- Hareng
- Chocolat noir
- Œufs
- Emmental
- Foie de veau
- Champignons : chanterelles et girolles
Sources :
Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism